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La Bible - L'épée de l'esprit

Le Scrutateur Béréen __________ Mémento d'un puisatier assoiffé de vérités bibliques ________(1 Thessaloniciens 5:21)

La croix : un symbole... oui, chrétien... non!

Plusieurs sont ceux qui critiquent les témoins de Jéhovah parce qu'ils croient que le christ est mort sur un poteau simple et non pas sur une croix en forme de T.

Il est clair que le plus important reste la rançon du christ, et non pas l'objet où il est mort; néanmoins, le nombre de mails de la part de certains, convaincus de m'annoncer quelque chose de nouveau qui -selon eux- m'ouvrirait les yeux sur la WT, m'ont décider a éclaircir ce point en faisant un article sur mon blog.

 

Des textes utilisés pour défendre la croyance en la croix

La plupart des partisans a la croyance en la croix en forme de T utilisent les textes bibliques de Matthieu 27:37 et Jean 20:25. Analysons ensemble ces versets.

 

Matthieu 27:37 : "De plus, au-dessus de sa tête on plaça, l’ayant mise par écrit, l’accusation portée contre lui : “ Celui-ci est Jésus le Roi des Juifs. ” "

Ils disent que le fait que l'écriteau d'accusation soit "au-dessus de sa tête" soutient leurs idée, a savoir, que le Christ est mort sur une croix.

Ironiquement, quand on y réfléchie bien, on se rend compte que leurs "argument" n'explique rien du tout qui puisse soutenir leurs croyance. Je vais l'illustrer un petit peu : admettons que je prend un livre et je le soulève très haut, au dessus de moi. Peut-on dire que le livre se trouve 'au-dessus de mes mains' ? Non. La langue française exige qu'on dise que j'ai soulevée le livre 'au-dessus de ma tête', bien que, en réalité, le livre se trouve sur mes mains, au dessus des mains.

Pareillement, l'écriteau d'accusation pouvait se trouver au dessus des mains de Jésus (selon l'angle de vue d'un observateur de la scène), et dire pourtant qu'il était "au-dessus de sa tête" (de Jésus).

 

Examinons l'autre texte.

Voici ce qu'on peut lire en Jean 20:25 : " Les autres disciples lui disaient donc : “ Nous avons vu le Seigneur ! ” Mais il (Thomas) leur dit : “ Si je ne vois pas dans ses mains la marque des clous, si je n’enfonce pas mon doigt dans la marque des clous et si je n’enfonce pas ma main dans son côté, non je ne croirai pas. ” "

Ils disent que, le fait que Thomas parle de "clous", cela soutient leurs idée. Pourtant, cela n'explique rien non plus. Les executeurs auraient pu cloué Jésus sur un poteau, les bras placées vers le haut, et utiliser un clou pour chaque main.

 

Mais, cela est-il vraiment important de "s'attarder" sur ces détails ? Oui, et nous allons voir dans cet article les raisons de cela.

 

Les sources de gens non-témoins de Jéhovah

Le terme grec que les rédacteurs bibliques ont utilisé pour parler de l'objet d'exécution de Jésus est "stauros" et "xylon".

 

Le site www.lettre-chretienne.org dit a ce sujet : "Stauros, mot grec indiquant un pieu ou une poutre. Un stauros n’indique jamais un crux ou une croix. L’origine du crux alias la croix associée à Christ provient de Constantin."

 

Voici une autre citation : “Le mot grec [stauros] que l’on traduit par croix signifie à proprement parler poteau; c’est un pieu dressé ou palis, auquel on pouvait pendre quelque chose, ou qui pouvait servir à clôturer un terrain. (...) Même chez les Romains, la crux (dont dérive notre mot croix) devait être à l’origine un poteau droit.” (The Imperial Bible-Dictionary (Londres, 1874) de P. Fairbairn, tome I, p. 376).

 

Mais qu'en est-il du mot grec "xylon" ? Le lexique grec-anglais de Liddell et Scott répond : “Bois coupé et prêt à être utilisé, bois de chauffage, bois de construction, etc. (...), pièce de bois, bûche, poutre, pieu, (...) gourdin, bâton, (...) poteau sur lequel les criminels étaient empalés, (...) bois sur pied, arbre.” 

 

L'exécution sur un poteau simple était quelque chose de commun dans les temps anciens, mais, contrairement a la croix, ce n'était pas un objet païen.

Ont peut constater sur la photo ci-contre, une oeuvre romaine (Ier-IIème siècle ap. J-C) qui montre le supplice de Marsyas. Oeuvre romaine du Ièr - IIème siècle

 

(Voir aussi une exécution romaine trouvée à Halicarnassus : link )

 

Plus récemment, le Telegraph, citant plusieurs chercheurs, dit que Jésus n'a pas été exécuté sur une croix. Ont peut lire cela dans la référence qui suit : The Daily Telegraph, 23/06/2010 .

 

Un objet païen

Le plus grave dans ce sujet, c'est que la croix est un objet païen (a coup sur, Pilate aurait sûrement voulu éviter un scandale gratuit avec les juifs en utilisant un objet païen).

 

Une encyclopédie catholique (New Catholic Encyclopedia) reconnaît : “ On trouve la croix tant dans les cultures préchrétiennes que non-chrétiennes. ” 

 

Le dictionnaire de Vine dit : “La forme de la ‘croix’, deux poutres à angle droit, a son origine dans l’antique Chaldée; elle était employée comme symbole du dieu Tammouz (étant en forme de Tau mystique, initiale de son nom) dans ce pays et dans les pays limitrophes, y compris l’Égypte. Vers le milieu du IIIe siècle ap. J.-C., ou bien les Églises s’étaient écartées de certaines doctrines de la foi chrétienne, ou bien elles les avaient travesties. Pour accroître le prestige du système ecclésiastique apostat, les Églises admettaient en leur sein les païens, sans qu’ils eussent été régénérés par la foi, et leur permettaient de conserver, en grande partie, leurs signes et symboles païens. D’où le Tau ou T, dans sa forme la plus employée, avec la barre transversale abaissée, qui fut adopté pour représenter la croix du Christ.” — An Expository Dictionary of New Testament Words (Londres, 1962) de W. Vine, p. 256.

 

Conclusion

Dans ce cas, pourquoi ce symbole a-t-il été introduit ? Apparemment, pour que les païens acceptent plus facilement le “ christianisme ”.

Pourtant, la Bible condamne clairement l’attachement à tout symbole païen (2 Corinthiens 6:14-18). Elle interdit également toutes les formes d’idolâtrie (Exode 20:4, 5 ; 1 Corinthiens 10:14). 

Les vrais chrétiens ont donc de solides raisons de ne pas se servir de la croix dans leur culte.

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F
je ne m'oppose pas au TJ , au contraire j'aprécie toutes personne qui recherche Dieu avec sincérité . le remaniement de la compréhension des écritures est suffisament chocant pour les chrétiens traditionalistes , que pour polémiquer sur des détails tel que l'instrument de torture qui servit à la mort du sauveur . Les TJ ont certainement des éléments plus importants à transmettre que de perdre du temps et leur crédibilité sur ce détails .
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S
Les TJ prêche la bonne nouvelle du Royaume de Dieu. Cependant l'idolâtrie n'est pas un détail. Les idolâtres n'hériteront pas de ce Royaume selon I Corinthiens 6:9,10. :)
B
Bonjour .<br /> Concernant la croix , la question est tout a fait caduque , je ne connais personne qui adorerait l'instrument de torture utilise pour tuer la personne la plus importante qui soit pour lui, que ce<br /> soit un poteau , une croix ,un billot , ou un autel c'est la même chose , Jesus est la victime expiatoire données par Dieu pour nos pechés , il s'est offert lui -même en sacrifice , ma question est<br /> qu'est ce qui est le plus important ; l' autel ou le sacrifice ?
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C
http://hlybk.pagesperso-orange.fr/jesus/christ/croix.htm<br /> <br /> voilà, tout est clair.
M
<br /> <br /> Bonjour.<br /> <br /> <br /> Le début de l'article répond à votre question : "Il est clair que le plus important reste la rançon du christ, et non pas l'objet où il est mort ..." (je (me) cite)<br /> <br /> <br /> Cordialement,<br /> <br /> <br /> <br />
S
Si ce que dit cet article est vrai, pourquoi les témoins ont-ils utilisé la croix (symbole païen) sur leurs publications jusqu'en 1923 ? N'étaient-ils donc pas chrétiens à cette époque ?<br /> Amicalement.
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M
<br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Cher lecteur,<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Je vous remercie de m'avois posé directement la question, c'est en effet une question pertinente.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Toute le monde sait que la croix est le symbole reconnu par toutes les grandes Eglises comme leur point de ralliement au christianisme. Et, justement, les Témoins<br /> de Jéhovah ont utilisé la croix dans l'optique d'une proclamation de leur christianisme au début de leur histoire moderne.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Ils ont ensuite compris, en 1936 (dans le livre Richesses) que Christ n’est pas mort sur une croix, mais sur un poteau. — Actes 10:39<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Revendiquant clairement leur christianisme, ils ont, non seulement abandonné la croix, mais condamnent aujourd’hui son usage dans le culte.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> De même que les premiers chrétiens ont compris -des années après la nuit de la pentecôte- qu'il fallait aussi annoncer la bonne nouvelle du royaume aux "gentils",<br /> de même aussi les témoins de Jéhovah de l'époque moderne ont compris, des années après la fondation des "Étudiants de la Bible", que la croix n'était pas biblique.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> J'espère que j'ai éclairci votre préoccupation.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Cordialement,<br /> <br /> <br /> <br />
T
<br /> Jusqu’à la fin des années 1930, la Société Watch Tower représentait Jésus mourant sur une croix traditionnelle. Toutefois, alors qu’elle finit par éliminer tant la croix que le nom de Jésus de la<br /> page de couverture de La Tour de Garde, elle continua d’utiliser comme symbole une tour de garde. Dans le livre Ennemis, le président Rutherford s’en prit violemment au récit traditionnel de la<br /> mise en croix parce que " les Celtes païens adoraient la croix bien longtemps avant la [naissance] et la mort de Christ " (pp. 188 et 189 de l’édition anglaise). Sans fournir la moindre preuve<br /> historique ou archéologique, Rutherford établit sa nouvelle doctrine comme un fait. En réalité, ce que faisaient les païens avec des croix avant la mort de Christ n’a rien à voir avec la façon dont<br /> les Romains crucifiaient les gens. De plus, ce n’est pas Jésus qui a choisi son instrument de mise à mort.<br /> <br /> Voici les objections les plus courantes de la Société Watch Tower à propos de la croix :<br /> <br /> Le texte grec ne suggère pas qu’il s’agissait d’une croix, mais plutôt d’un " pieu " ou " poteau ".<br /> La croix était un symbole païen, adopté plus tard par l’Église " apostate ".<br /> L’archéologie prouve que Jésus est mort sur un poteau droit plutôt que sur une croix.<br /> Plutôt que de la mentionner ou de la représenter, il faut bannir la croix.<br /> Considérons une à une les réponses à ces objections :<br /> <br /> Les TJ : Le terme grec stauros ne désigne pas une croix.<br /> <br /> Au fil des ans, la Société Watch Tower se mit à fournir des " preuves " pour soutenir sa position au sujet de la croix. C’est en 1950, avec la parution de la New World Translation of the Christian<br /> Greek Scriptures (Les Écritures grecques chrétiennes — traduction du monde nouveau), qu’elle soutint pour la première fois que les termes grecs stauros (Mat. 10:38) et xulon (Actes 5:30) ne<br /> signifient pas " croix ", mais désignent simplement un poteau droit sans traverse, et qu’il n’y a aucune preuve du contraire. — Appendice, pp. 768-771.<br /> <br /> Comme l’indique la Société Watch Tower, le mot grec stauros désigne fondamentalement un pieu ou un poteau. Mais ce qu’elle ne dit pas, c’est que ce mot désigne souvent une construction plus<br /> complexe, comme une croix. Le mot latin crux, habituellement rendu par " croix ", était également parfois employé pour désigner un simple poteau. Ce que la Société Watch Tower ignore spécifiquement<br /> et dissimule soigneusement, c’est que les Romains exécutaient effectivement des prisonniers sur des croix. On appelait patibulum la barre transversale des croix de ce genre, et les esclaves qui<br /> devaient être exécutés le portaient habituellement jusqu’au lieu d’exécution. — Sénèque, De Vita Beata 19:3 ; Epistola 101:12 ; Tacite, Historiae, IV, 3.<br /> <br /> Un lexique faisant autorité donne la définition suivante du mot stauros : " Poteau planté en terre dans une position verticale ; une barre transversale était souvent attachée à sa partie<br /> supérieure. "<br /> <br /> Le mot xulon, comme stauros, peut également désigner une croix. Ce fait est lui aussi soigneusement dissimulé par la Société Watch Tower dans son effort pour prouver ses assertions. Ainsi, elle ne<br /> peut rien prouver du tout à propos des termes stauros et xulon. Il nous faudra donc nous tourner vers les récits historiques afin de trouver des preuves certaines au sujet de la méthode de<br /> crucifixion employée pour Jésus.<br /> <br /> Les TJ : La croix était un symbole païen adopté plus tard par les Églises.<br /> <br /> Quel que soit l’usage de la croix avant ou après l’époque de Jésus, cela n’a rien à voir avec notre problème. De plus, il n’existe aucune preuve concluante que les Juifs ou les Chrétiens du ier<br /> siècle considéraient la croix en tant qu’instrument de crucifixion comme un symbole du faux culte. Elle n’était qu’un instrument servant à punir ou à mettre à mort les criminels. Les symboles ont<br /> des significations différentes selon les époques. De plus, Jésus n’a pas choisi de mourir crucifié.<br /> <br /> Bien que l’Église catholique ait pu par la suite mettre l’accent sur l’imagerie de la croix et que, même de nos jours, certaines personnes la considèrent comme une idole, cela ne change pas le fait<br /> que la Bible emploie la croix comme symbole de l’évangile (voir la quatrième objection). Les preuves démontrent que dès le ier siècle la croix était, pour certains Chrétiens, le symbole du<br /> Christianisme. Les Romains les tournaient même en dérision en représentant Jésus sous la forme d’un âne crucifié (voir l’illustration). Apparemment, la croix n’évoquait pas pour les Chrétiens du<br /> ier siècle quelque signification païenne antérieure, mais elle représentait Christ et son message, tant pour les croyants que pour les non-croyants. Il en va de même aujourd’hui. La croix est pour<br /> tout le monde le symbole du Christianisme.<br /> <br /> Les TJ : L’archéologie montre que Jésus est mort sur un poteau, et non sur une croix.<br /> <br /> Dans les éditions anglaises de 1950 et 1969 de la Traduction du monde nouveau (dans les Appendices), la Société Watch Tower reproduit l’une des seize illustrations proposées par l’auteur du xvie<br /> siècle Juste Lipse dans son ouvrage intitulé De Cruce Liber Primus, Secundus et Tres. La Société reproduit l’image d’un homme cloué à un poteau droit, sans toutefois mentionner que Lipse fournit<br /> quinze autres illustrations représentant des hommes cloués à différentes formes de croix. Elle fait ce commentaire : " C’est de cette manière que Jésus a été exécuté. " Elle se réfère ensuite à un<br /> article du magazine catholique Ecclesiastical Review, datant de 1920, qui indique que la croix ne fut pas employée comme symbole de la crucifixion avant 312 ap. J.-C.<br /> <br /> On lit dans l’Appendice de l’édition de 1950 de la New World Translation of the Christian Greek Scriptures (p. 770) : " Plutôt que de considérer le poteau de supplice sur lequel Jésus fut cloué<br /> comme une relique digne d’être adorée, les Chrétiens Juifs, comme Simon Pierre, l’auraient considérée comme une chose abominable. " Afin de prouver que la croix était une abomination, la Société<br /> cite ensuite Galates 3:13, où Paul cite lui-même Deutéronome 21:22, 23. L’article continue en disant : " Les Chrétiens Juifs auraient dont tenu pour maudit et haïssable le poteau sur lequel Jésus<br /> avait été exécuté. " La Traduction du monde nouveau conclut en disant :<br /> <br /> " Rien ne prouve donc que Jésus Christ ait été crucifié sur deux pièces de bois se coupant à angle droit. Nous refusons d’ajouter quoi que ce soit à la Parole écrite de Dieu en introduisant l’idée<br /> païenne de la croix dans les Écritures grecques chrétiennes, mais nous rendons stauros et xulon d’après leur signification la plus simple. […] Avec le temps, de futures découvertes archéologiques<br /> prouverons certainement l’exactitude de ce qui précède. Même maintenant, c’est à ceux qui soutiennent la tradition religieuse de prouver que Jésus est mort sur autre chose qu’un simple poteau. "<br /> (p. 771)<br /> <br /> L’Appendice de l’édition de 1969 de la Kingdom Interlinear Translation [Traduction interlinéaire du royaume] contenait essentiellement la même information, tout comme l’édition de 1984 de référence<br /> de la New World Translation [édition révisée parue en français en 1995 sous le titre Les Saintes Écritures — Traduction du monde nouveau — avec notes et références] et l’édition révisée de 1985 de<br /> la Kingdom Interlinear Translation. Cette dernière édition, tout comme l’édition française de la Bible de référence, contient également un commentaire tiré de Vine’s Complete Expository Dictionary<br /> of Old and New Testament Words, soutenant l’idée selon laquelle les païens d’avant l’époque de Christ utilisaient le symbole " T ", représentant le dieu babylonien Tammouz, et que cette pratique a<br /> apparemment fini par influencer l’Église catholique pour ce qui est du culte de la croix. Vine prétend que le système ecclésiastique catholique a adapté le symbole de la croix en tant que<br /> continuité du paganisme.<br /> <br /> Le plus étrange, dans tout cela, est que la Société Watch Tower puisse dire que " rien ne prouve […] que Jésus Christ ait été crucifié sur [une croix] ", alors que le livre même qu’elle utilise<br /> pour " prouver " ses assertions dit que Jésus est mort sur une croix ! On peut voir ci-dessous l’une des illustrations de Lipse que ne mentionne pas la Société Watch Tower, illustration montrant<br /> une crucifixion sur une croix. Voici également une traduction partielle du texte latin qui accompagne l’illustration :<br /> <br /> " Dans la croix du Seigneur il y avait quatre pièces de bois : le poteau droit, la barre transversale, un tronc d’arbre (morceau de bois) placé au-dessous, et le titre (inscription) placé<br /> au-dessus.<br /> <br /> " Ils tiennent aussi (ce récit) d’Irénée : ‘ La croix possédait cinq extrémités : deux sur la partie verticale et deux sur la partie horizontale, et une au milieu, sur laquelle reposait la personne<br /> attachée avec des clous. ’ " (De Cruce Liber Secundus, p. 392)<br /> <br /> <br /> <br /> Les anciennes éditions anglaises de la Traduction du monde nouveau (1950 et 1969), après avoir parlé de l’illustration de Lipse montrant un homme cloué à un poteau, déclaraient : " C’est de cette<br /> manière que Jésus a été exécuté. " De cette manière, la Société Watch Tower tentait de démontrer que le livre de Lipse prouvait leur théorie. Depuis lors, le fait que la malhonnêteté de la Société<br /> a été exposée au grand jour l’a incitée à retirer cette dé<br /> <br /> <br />
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M
<br /> <br /> Si par exemple, dans un roman de Shakespeare il est dit qu'une personne prit "a spoon" pour manger, on traduira logiquement pas "une cuillère". Et dire que le terme anglais "spoon" pourrait<br /> éventuellement se traduire par "fourchette", ne prouve rien ni sert a rien non plus, si ce n'est que pour donner une critique gratuite.<br /> <br /> <br /> Comme je l'ai déjà dit dans cet article, "le plus important reste la rançon du christ, et non pas l'objet où il est mort". Les morts grecs signifient un "poteau", "arbre", "pieu" ou<br /> "pilier" et rien qui se rapporte a une croix faite de deux pièces de bois.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> La "croix" n'est pas le symbole du christianisme, mais de la chrétienté.<br /> <br /> <br /> L’instrument sur lequel fut tué Jésus ne mérite pas d’être idolâtré; bien au contraire, il devrait nous inspirer de la répulsion. Ce symbole de la chrétienté encourage le culte de la mort.<br /> <br /> <br /> Le symbole du christianisme lui, c'est l'amour (Jean 13:35).<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Je ne comprend pas pourquoi vous parler de "société watch tower". La "watchtower" (terme plus exact) n'enseigne rien, mais publie l'enseignement. Nuance !!!!!!!!!!!!!!!!!<br /> <br /> <br /> C'est l'esclave fidèle et avisé qui transmet l'enseignement biblique en temps voulu (Matthieu 24:45).<br /> <br /> <br /> Et ils n'ont jamais dit que la "croix" n'existait pas à l'époque, mais que tuer quelqu'un sur un simple poteau était souvent employé. Mais je remarque que tu aime faire dire ce que les autres<br /> n'ont pas dit. <br /> <br /> <br /> Bon, remarque, ce n'est pas ta faute seulement, car tu ne fais que ruminé aveuglement ce que d'autres apostats ont dit.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> http://www.euaggelion2414.com/JCpasCroix.html<br /> <br /> <br /> <br />
T
<br /> Le poteau n'est-il pas également un symbole païen ?<br /> <br /> *** w99 1/4 p. 29 Le culte de Baal ou comment voler les cœurs des Israélites ***<br /> Le culte de Baal était ponctué de rites sexuels. Même les objets religieux liés à Baal, les colonnes sacrées et les poteaux sacrés par exemple, évoquaient la sexualité. Les colonnes sacrées,<br /> rochers ou pierres taillées en forme de symbole phallique, représentaient Baal, la partie masculine de l’union sexuelle. Quant aux poteaux sacrés, c’étaient des objets de bois ou des arbres qui<br /> représentaient Ashéra, la parèdre de Baal et l’élément féminin. — 1 Rois 18:19.<br /> <br /> <br /> Tu ne dresseras pas non plus pour toi de colonne sacrée, chose que Jéhovah ton Dieu hait vraiment. Deutéronome 16:22<br /> <br /> <br />
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M
<br /> <br /> Les poteaux sacrés étaient des symboles phalliques, mais tous n'étaient pas en bois, mais aussi en pierre, comme nous le montre plusieurs découvertes archéologiques (voir "baal au foudre"<br /> sur google ; un autre exemple sur cette image : http://www.bloblo.pl/image/129297/default/baal-en-poteau-sacre-phallique2.jpg ).<br /> <br /> <br /> Le poteau où Jésus fut exécuté était un simple arbre, qui n'était symbole de rien de connue ni pour les juifs ni pour les romains. C'était un mode d’exécution simple et connue<br /> depuis longtemps.<br /> <br /> <br /> <br />